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 OLIVER PREWETT /ollie ○ facing alone in the heart of the winter

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Gendries




Messages : 12
Date d'inscription : 11/07/2012

OLIVER PREWETT  /ollie ○ facing alone in the heart of the winter Empty
MessageSujet: OLIVER PREWETT /ollie ○ facing alone in the heart of the winter   OLIVER PREWETT  /ollie ○ facing alone in the heart of the winter EmptyVen 1 Aoû - 17:23

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☆ oliver (grant) prewett ☆
When oblivion is calling out your name,
You always take it further than I ever can.


PRÉNOM: Oliver, un prénom qu'il affectionne et qui lui vient de son grand-père maternel, un homme dont il a été très proche. Ses amis le surnomment Ollie de temps en temps, même s'il préfère son prénom complet. Son deuxième prénom, Grant, était le choix de son père. ♢ NOM: Prewett, le nom de son père, un nom dont il aime la résonance mais dont il ignore l'histoire. ♢ ÂGE: Vingt-six ans depuis quelques jours, mais son âge lui importe peu. Jusqu'au jour où il aura trente ans. ♢ DATE ET LIEU DE NAISS.: 23 juin 19.., à Oak Grove (Idaho). ♢ ORIGINES ET NATIONALITÉ: De ce qu'il sait il est cent pour cent américain. A vrai dire, l'histoire familiale importe peu chez lui, les Prewett ne semblant pas s'attacher au passé (mis à part eut être aux années 60). ♢ EMPLOI ET/OU ÉTUDES: Il avait commencé des études d'étude audiovisuel mais il a vite laissé tomber pour enchaîner les petits jobs tout en faisant de la musique (sa passion). Il travaille actuellement au White Pie en tant que serveur.   ♢ STATUT CIVIL: Célibataire et sans enfant. Il est jeune, il ne s'en fait pas là-dessus. ♢ STATUT FINANCIER: Il rame financièrement. Il ne vient pas d'un milieu aisé loin de là, et étant donné que son niveau d'étude est nul, il ne s'en plaint pas et courbe l'échine. Il espère un jour vivre de sa passion la musique. Pour l'instant il vivote. ♢ STATUT FAMILIAL: Il est l'aîné d'une grande fratrie, une fratrie qui est relativement proche et soudée. ♢ ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel et sur de ça. ♢ GROUPE: Touched by an "A-ngel" ♢ AVATAR: Dan Smith. ♢ CRÉDITS: bastillehaolic @tumblr.

our fingers are stuck in the socket
Merci de répondre aux questions suivantes en un minimum de cinq lignes, soyez le plus précis possible tout en restant bref, une réponse de vingt lignes n'est pas non plus attendue. N'oubliez pas de supprimer ce message pour plus d'esthétisme.
Votre personnage est-il ou a-t-il été touché par un ou plusieurs messages de A- ? Oliver ne saurait pas l'expliquer mais s'il n'a pas été encore touché par A- il a l'intime conviction que cela ne tardera pas. Sans doute à cause de ses activités obscures avec Hoyt et sa bande, sans doute à cause du petit attrait qu'on lui porte depuis qu'il ose monter sur scène. Cette histoire le rend assez anxieux à vrai dire, pas toujours fier de ce qu'il peut faire lors de son temps libre. Et d'ailleurs il ne comprend pas le but de ce petit jeu malsain, ce qui ne fait que nourrir certaines de ses angoisses.
Votre personnage a-t-il connu Veronica Desroses ou a-t-il été en contact avec un membre de sa famille ? Il ne l'a pas connu personnellement, mais connaissait sa réputation par l'une de ses plus jeunes soeurs qui devaient être en classe avec elle. A vrai dire il s'est demandé qui ne la connaissait pas quand toute cette affaire est arrivée. Et si Veronica Desroses n'a jamais été une proche ni même une connaissance, toute cette histoire le fascine et l'a même inspirée en partie.
Nous avons tous des secrets, votre personnage y compris, un de ses secrets a donc forcement été dévoilé par A- mais quel est ce secret ? Etant donné qu'il n'a jusqu'à présent pas intéressé A-, le secret qu'elle pourrait donc révéler par la suite et qui ferait le plus de dégât (parce que tout se sait à Oak Grove) est la vie sombre que lui, Hoyt et leur petite bande entretiennent la nuit, leurs différentes expérimentations de drogues et d'alcools, eux qui avaient toujours été destinés à un destin favorable étant donné leur capacité. Hélas Hoyt a plongé dans l'obscurité et Oliver l'y a plus ou moins suivi.

till you showed up with perfect timing
Il  connaît son meilleur ami, Hoyt Milburn, depuis sa petite enfance, sans doute depuis leurs quatre ans. Et depuis ils sont inséparables ; vous ne verrez jamais Hoyt sans Oliver ni Oliver sans Hoyt. A tel point qu’Oliver suivra Hoyt assez loin dans ces conneries, le suivra dans le côté obscur aussi. ▪ Il est passionné de musique ce que peu de personnes ont su pendant très longtemps. Mais il a composé beaucoup de chansons, chante parfaitement bien, et joue bien du piano. Toutefois, depuis quelques mois, Oliver se produit sur scène (en compagnie de Hoyt) quand l’occasion se présente. ▪ Il aime les t-shirts avec des dessins et des références audiovisuelles. Il les collectionne d’ailleurs. ▪  Il porte des lunettes si besoin mais préfère avoir des lentilles. ▪ Ollie n’a jamais quitté Oak Grove, ce qu’il regrette. Hélas le manque de moyen l’empêche d’envisager un quelconque voyage. ▪ Il a une jolie voiture, une voiture qu’il a retapé avec ses frères et Hoyt, une Buick Riviera de 1968 noir. ▪ Ollie vient d'une famille relativement nombreuse (il a cinq frères et soeurs) et s'ils sont plus ou moins proches, il s'est souvent senti seul (sans doute est-ce du à son propre caractère). Et c'est sans doute en Hoyt qu'il a trouvé un véritable frère, une sorte de jumeau. ▪ C'est un rêveur qui s'envole souvent dans son propre monde nourrit de nombreuses références cinématographiques, littéraires ou historiques. Vous le verrez pouvoir avoir une absence lors d'une discussion ou écrire attablé à une table d'un café comme s'il était seul au monde. ▪ Il lui arrive de fumer des cigarettes, mais assez rarement. A vrai dire, il a touché à des drogues plus fortes, suivant Hoyt dans ses délires. ▪ Il vient d'une famille dont les parents sont deux hippies clairement laxistes. Heureusement, leurs enfants s'en sortent relativement bien. ▪ C'est un vrai angoissé. Sa consommation importante de caféine et ses insomnies en étant des symptômes. ▪ Bien qu'il ne se décrirait pas comme ça et emploierait très certainement un autre mot, c'est un romantique. Il n'est pas de ceux qui collectionnent les conquêtes. Il a partagé une relation de deux ans avec sa dernière petite amie par exemple. Il a d'ailleurs eu (hélas) un véritable crush sur la petite soeur de Hoyt.  ▪ Quand il est gêné il se tripote les cheveux. D’ailleurs, il refuse d’aller chez le coiffeur et accepte seulement qu’une de ses sœurs lui les coupe.

PRÉNOM: Sarah. ♢ PSEUDO: Honeycomb. ♢ ÂGE: 20 ans. ♢ AVIS SUR LE FORUM: Très joli, bien fait, intéressant. ♢ FORUM TROUVÉ GRACE A: Bazzart. ♢ DERNIER MOT: Bouillabaise.
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Gendries




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Date d'inscription : 11/07/2012

OLIVER PREWETT  /ollie ○ facing alone in the heart of the winter Empty
MessageSujet: Re: OLIVER PREWETT /ollie ○ facing alone in the heart of the winter   OLIVER PREWETT  /ollie ○ facing alone in the heart of the winter EmptyVen 1 Aoû - 17:24

when your eyes got me drunk i was sober

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♢♢♢
You lean towards despair
Any given opportunity you're there
But what is there to gain?
When you're always falling off the fence that way

bastille, overjoyed / bassteel @tumblr

Ils étaient tous réunis près du lac, à l’orée de la forêt. Il y avait un feu de camps –habileté certainement sauvée d’un très ancien séjour en camps de scout– et quelques amis. A vrai dire, Oliver n’aurait su dire s’ils étaient véritablement amis ou si ceux qu’il désignait généralement par le terme « la bande » étaient plutôt des connaissances avancées. Pourtant en observant l’assemblée, un visage familier lui lança un sourire malin. Hoyt. Un peu plus grand que lui, une silhouette dégingandée, des cheveux noirs et une moustache faussement entretenue, voilà à quoi ressemblait Hoyt Milburn. Si Hoyt et Oliver n’avaient rien en communs physiquement, si l’un faisait un geste l’autre lui suivait. On aurait su dire ce qui les liait, mais ce qui était su par tous c’est que Hoyt et Ollie étaient plus que de simples amis. On aurait dit des jumeaux ou même une personne dans deux corps. C’était étrange pour beaucoup, mais pas pour eux. Hoyt se déplaça avec nonchalance vers Oliver, un rictus lui dévorant le visage. « J’ai trouvé un truc tu vas pas en revenir. » dit-il, en mettant sa main dans la poche de son jean tombant sur ses hanches minces. Oliver renifla. Il savait à quoi s’attendre. Il savait ce que ce genre de déclaration signifiait. Particulièrement un samedi soir en pleine nuit près du lac. Il resta silencieux, observant Hoyt se dépêtrer avec sa propre poche et son pantalon qui glissait de son bassin.  Un nouveau, très certainement plus jeune que lui décréta Oliver, lui tendit une bouteille de tequila, qu’il attrapa plus par réflexe que par réelle envie d’en siroter. Après un ou deux grognements, Hoyt sortit fièrement un petit sachet transparent renfermant une multitude de petits cachets multicolores. « Tu m’en diras des nouvelles mon vieux ! » éructa Hoyt crânement. Il agita un instant le paquet, ses yeux brillants plantés dans ceux d’Oliver. Le jeune homme tenta de se concentrer sur ce regard, ce regard illuminer de cette flamme de folie qui parfois l’effrayait. Mais si Hoyt plongeait, Oliver le suivait. Son ami versa dans la main d’Ollie un cachet, et s’en servit un juste ensuite. Un sourire satisfait flottait sur ses lèvres alors qu’il indiquait la suite des évènements (soit le même rituel depuis des années). « A trois avec une rincée de ce sublime breuvage… » dit-il en montrant du doigt la bouteille que n’avait pas lâché Oliver. Il hocha la tête en signe d’approbation bien que ce soir, l’envie n’y était pas. « Un-- ! » hurla Hoyt, emballé à l’idée de ce qui allait suivre. « Deux-- ! » Oliver prit une grande inspiration. « TROIS ! » Sa main vint jeter la pilule dans sa bouche sèche. Il avala le comprimé sans même avoir besoin de porter la bouteille de tequila à ses lèvres. Toutefois, dans un souci de bien-faire, il avala une grande rincée de l’alcool bas de gamme qui lui brûla les lèvres et l’œsophage, mais réchauffa soudainement son corps.  « Et maintenant ? » demanda t-il à son ami qui avalait lui aussi de grande gorgée de la boisson alcoolisée. « Suis moi, on va se poser près du lac, y’a rien de mieux. » Les effets mirent peu de temps à apparaître. Une demie dizaine de minutes tout au plus. Ce fut d'abord l'engourdissement. Tous ses membres se détendirent un à un, ses trapèzes soudainement décontractés après des heures et des heures de tension perpétuelle. Puis ce fut une explosion. Une explosion cérébrale comme si tous ces neurones avaient décidé d'imploser à la même nano-seconde. Un feu d'artifice dans son crâne, une mitraillette dans ses méninges. Puis ce fut son coeur qui résonnait dans ses tympans comme une batterie sonore et trop rapide. La combinaison de ces trois phénomènes lui arracha un rire hystérique et incontrôlé. Hoyt, qu’il pouvait apercevoir du coin de l’œil, semblait dans le même état, ce qui ne fit que redoubler le rire hystérique d’Oliver. De longues secondes se déroulèrent –ou des minutes ?- sans qu’aucun d’eux ne stoppent le concerto de rire bruyant et exagéré. Mais soudain, un cri le tira de sa transe. Un cri de désespoir à vous glacer le sang. Oliver ne retrouva pas tout à fait ses esprits, la drogue étant très certainement trop puissante, mais il réussit toutefois à se hisser sur ses deux pieds afin de jeter un coup d’œil alentours. Une jeune femme, qu’il ne connaissait pas vraiment, hurlait par intermittence, gargouillant, suffoquant, luttant.  Oliver regarda dans tous les sens désorienté, jusqu’à ce que sa vue s’ajusta sur une silhouette se débattant avec un tumulte d’eau. Elle était là, dérangeant l’étendue plate du lac, par ses cris et ses gestes brutaux. Elle se noyait. Oliver ne réfléchit pas très longtemps avant de s’élancer maladroitement vers la noyée. Le rire d’Hoyt résonnait derrière lui, détestable à cet instant. Si son cœur résonnait à présent dans ses tympans, ce n’était plus sous les effets dévastateurs de la drogue mais bien par l’angoisse qu’il sentait monter le long de son estomac. Soudainement nauséeux, le contacte de l’eau sur son pantalon le ramena un peu plus à la réalité. Il avança difficilement dans l’eau et la vase, luttant à la fois contre la mouvance du sol et le brouillard dans son esprit. Les cris et les rires emplissaient sa tête, ne faisant qu’augmenter le malaise qui l’envahissait. Après de longues secondes de lutte, il arriva à la hauteur de la jeune femme se débattant. Elle était à bout de souffle et s’agrippa lourdement au corps d’Oliver à quatre vingt pour cent dans l’eau. Il passa un bras mou autour de sa taille et sous ses jambes pour la ramener vers le rivage. Le retour fut tout aussi pénible mais après de longues minutes, ils s’écroulèrent tous les deux au sol. La jeune femme pleurait. Oliver en avait envie. Mais seul l’hystérie et les propos insensés de d’Hoyt retentissait dans sa tête. « Putain Oliver, t’as foutu quoi ?! T’es mouillé. On dirait un chat quand t’es mouillé. Un petit chat ha-ha-ha ! » Il parlait trop vite, trop fort. Et tout ce qu’Oliver put articuler fut : « Elle a failli crever et tu me parles de chat. Putain de drogue de merde. Plus jamais. » Et alors il se laissa tomber sur le sol humide pendant de très longues minutes, ignorant un Hoyt hystérique et incontrôlable.

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Oliver ne savait pas trop ce qui l’avait amené ici. Sans doute la curiosité. C’était Hoyt, son fidèle compagnon, qui en avait vaguement parlé autour d’un café quelques jours auparavant. Ca n’avait pas été très clair comme explication et Oliver n’avait pas trop compris pourquoi Hoyt ne voulait pas venir. Alors sans lui dire, sans en parler à qui que se soit mis à part sa petite sœur Cassie qui avait décidé de l’accompagner, il prit la direction du petit café théâtre juste après la fermeture du café. Cassie, d’un pas guilleret le suivait. Il ne parla pas, se contenta d’écouter les gazouillements de sa petite sœur jusqu’à ce qu’ils arrivent au lieu de la représentation et qu’il demanda une table pour deux. Il se demandait ce qui l’avait poussé à venir. Elle n’était que la petite sœur de son meilleur ami. Mais était-ce dans un esprit d’héroïsme, dans une volonté de charité qu’il était venu ? Oliver en doutait. Il aimait à penser qu’il venait pour remplacer le rôle qu’Hoyt se refusait à avoir envers Mayes. Mais il semblait que le jeune homme tenta plus de se convaincre par cette idée qu’elle n’était une réalité. Cassie piailla quad les spots baissèrent d’intensité. Le spectacle allait commencer. Il y eut une scène d’introduction, et quelques jeunes femmes à passer. Pendant ce temps là, Oliver fut perdu dans ses pensées, incapable de fixer son attention sur ce qui se déroulait véritablement sur scène. Ce ne fut que lorsque les cheveux flamboyants et familiers de la jeune femme apparurent sous les projecteurs qu’Oliver se tira de sa torpeur. Elle était là, sous une lumière éblouissante, le regard vif, un sourire léger traînant sur ses lèvres. Elle était belle. Cela sautait aux yeux d’Oliver, comme une révélation, comme si c’était la première fois qui la voyait, ou qu’il s’autorisait à la voir. Le sketch débuta. Elle était tout sauf celle qu’il connaissait, soit la jeune femme discrète et réservée qu’il avait pu observer des années durant chez les Milburn. Elle était une nouvelle personne, une nouvelle Mayes, insoupçonnée. Il était émerveillé par cette confiance en elle qu’elle dégageait, par cette aplomb qu’elle m’était à improviser, par sa grâce quand elle se déplaçait sur les planches branlantes de la scène. Mayes n’était plus une enfant sur cette scène. Elle était une femme –une jeune femme– charmante, drôle, belle et désirable. Mayella, désirable. L’association de ces deux termes dans son esprit le fit dérailler. C’était impossible. Elle était la petite sœur de Hoyt. Soit presque la sienne. Pourtant, alors qu’elle allait quitter la scène et qu’elle scrutait une dernière fois le public du regard, il crut voir un sourire sur le visage de la jolie rousse lui étant adressé, et son cœur dans sa poitrine explosa. L’inconscient d’Oliver avait franchit une limite.
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